Les contrats de confidentialité étant assez génériques, l’équipe Completed a décidé de l’offrir à ses clients. Sur simple demande, recevez gratuitement votre modèle de contrat de confidentialité (à condition d’être client ou de commander une autre prestation).
Offert
Communication d’un modèle de NDA à jour.
L’information vaut parfois plus que l’or : protéger ses secrets d’affaires est une nécessité. Que vous soyez une startup innovante ou une PME structurée, le contrat confidentialité — aussi appelé NDA (Non-Disclosure Agreement) — est un outil juridique simple, mais crucial.
Ce guide complet vous explique tout ce que vous devez savoir pour rédiger, comprendre et utiliser un NDA efficace, conforme au droit français, sans nécessairement recourir à un avocat.
Un contrat de confidentialité, ou NDA (Non-Disclosure Agreement), est une convention par laquelle une ou plusieurs parties s’engagent à ne pas divulguer des informations sensibles reçues dans le cadre d’une relation professionnelle. Il peut être unilatéral (une seule partie reçoit des informations) ou bilatéral (les deux parties s’échangent des informations confidentielles).
Dans le cadre d’une startup ou d’une PME, un NDA permet de sécuriser la communication d’éléments stratégiques : plans d’affaires, secrets de fabrication, fichiers clients ou prototypes. C’est un rempart juridique contre le vol ou la fuite d’informations pouvant compromettre le développement de l’entreprise.
Lors de l’élaboration de partenariats, ou d’échanges avec des freelances, prestataires ou incubateurs, vous pourriez être amené à partager des données sensibles.
Qu’il s’agisse de développeurs, d’agences marketing ou de cabinets comptables, un NDA garantit que les informations échangées ne seront pas utilisées ou diffusées sans votre accord.
Dans le cadre d’une levée de fonds, les investisseurs peuvent demander à consulter des données internes. Un contrat de confidentialité formalisera la protection de ces données durant la phase de due diligence.
Il est judicieux de prévoir une clause de confidentialité dans les contrats de travail, ou de faire signer un contrat confidentialité séparé aux stagiaires et collaborateurs.
Toute personne ou entité avec laquelle vous partagez des informations sensibles doit être liée par un accord écrit. Cela inclut les clients, les agences de conseil, et même les journalistes dans certains cas.
Recettes, algorithmes, process internes, prototypes… tout ce qui relève de la stratégie de l’entreprise.
Chiffres d’affaires, marges, plans de financement, business plans.
Modèles de contrats, plans d’action, outils marketing propriétaires, etc.
Pour être valide, un contrat confidentialité doit respecter trois conditions :
Consentement libre et éclairé des parties
Capacité juridique de contracter
Contenu licite et certain
Bien que le contrat puisse être verbal, la forme écrite est impérative pour le prouver. Le contrat doit contenir :
Il est recommandé de prévoir une durée raisonnable (3 à 5 ans). En cas de manquement, des dommages-intérêts peuvent être réclamés devant les juridictions civiles.
Si votre contrat confidentialité comporte des clauses complexes ou est intégré dans un montage contractuel global, l’intervention d’un avocat peut s’avérer utile.
Dans la majorité des cas, un modèle bien rédigé suffit. C’est d’ailleurs ce que propose Completed.tech : un modèle conçu par des juristes, adapté à la réalité des startups et PME, et facile à personnaliser.
Completed met à disposition un modèle de contrat confidentialité, gratuitement, pour ses clients ou en complément de toute commande de prestation juridique.
Il suffit de remplir le formulaire de contact et d’être client ou en phase de le devenir. L’équipe vous répondra rapidement avec le modèle adapté.
Lorsqu’on rédige un contrat de confidentialité, il est fondamental d’utiliser des termes clairs et précis. L’objet du contrat doit être défini sans ambiguïté : de quelles informations parle-t-on, dans quel cadre sont-elles partagées, et dans quel but ? La précision évite toute interprétation litigieuse. De même, il est important de déterminer clairement les obligations des parties, notamment ce qu’elles peuvent ou ne peuvent pas faire avec les informations reçues.
Le contrat doit aussi comporter une clause déterminant la durée de l’engagement. Une erreur fréquente est d’omettre cette indication, ce qui peut entraîner la nullité du contrat ou, à l’inverse, une interprétation défavorable. Il est conseillé d’inclure une durée de validité distincte de la durée de la collaboration contractuelle, car certaines informations peuvent demeurer sensibles après la fin d’un projet.
Avant la signature, chaque partie doit relire attentivement le document et s’assurer qu’il reflète fidèlement les intentions de chacun. Une fois signé, il est judicieux de conserver une trace écrite sous format numérique ou papier, datée et signée, pour éviter toute contestation ultérieure.
L’une des erreurs les plus répandues est l’utilisation d’un modèle générique de contrat confidentialité non adapté au contexte spécifique de l’entreprise. Un contrat trop général ou imprécis perd de sa valeur juridique et peut ne pas être exécutoire. Par exemple, si le champ des informations confidentielles est mal défini, il sera difficile de prouver qu’une violation du contrat a eu lieu.
Une autre erreur consiste à rédiger des clauses excessivement contraignantes, qui peuvent dissuader un partenaire de signer. Trop d’exigences tuent la négociation, surtout quand elles ne sont pas justifiées par le niveau de sensibilité de l’information.
Il ne faut pas non plus oublier d’inclure des dispositions sur le traitement des informations à la fin de la collaboration. Que doit faire la partie destinataire des documents ? Doit-elle les restituer ou les détruire ? Un oubli à ce niveau peut être dommageable.
Enfin, négliger de mettre à jour le contrat en cas de changement de partenaires, de projets ou de technologies est une faille que l’on retrouve souvent. Un contrat de confidentialité n’est pas un document figé, il doit vivre avec l’entreprise.
Voici un exemple simplifié de clause que l’on peut intégrer dans un contrat confidentialité :
« La Partie destinataire s’engage à ne pas divulguer, reproduire ou utiliser à des fins personnelles ou professionnelles, sans autorisation préalable écrite de la Partie émettrice, toute information confidentielle reçue dans le cadre de la présente collaboration, et ce pendant toute la durée du contrat ainsi que pendant une période de cinq (5) ans suivant sa cessation. »
Cette clause peut bien entendu être ajustée selon les besoins de chaque situation. L’objectif est toujours de protéger l’entreprise sans alourdir inutilement la relation contractuelle.
En résumé, le contrat de confidentialité, bien qu’il puisse paraître complexe à première vue, est en réalité un document juridique assez standardisé, très utilisé dans les environnements professionnels, et particulièrement chez les startups et les PME. Il protège les informations sensibles et crée un climat de confiance entre les parties.
Il n’est pas toujours nécessaire de passer par un avocat pour le rédiger. Un bon modèle type, adapté à la situation, suffit dans la majorité des cas. C’est précisément ce que propose Completed.tech : un accès simple, rapide et gratuit à un modèle de contrat efficace, conçu pour les entrepreneurs.
Protéger ses données n’est pas un luxe, c’est un réflexe stratégique. En signant un contrat de confidentialité adapté, vous anticipez les litiges, sécurisez vos échanges et valorisez la propriété intellectuelle de votre entreprise.
Retrouvez nos forfaits de rédaction de contrats :
Get sh*t done
Non, il n’est pas juridiquement obligatoire, mais il est vivement recommandé.
En cas de conflit ou de fuite d’informations, il permet de prouver l’existence d’un accord préalable sur la confidentialité, ce qui renforce vos chances devant un tribunal.
La durée varie en fonction de la nature de l’information. Pour des données stratégiques ou technologiques, une durée de cinq ans est souvent raisonnable.
Pour des informations moins sensibles, deux à trois ans peuvent suffire.
Non, les idées en tant que telles ne sont pas protégées par le droit français.
Seules les informations précises, documentées et ayant une valeur économique peuvent être considérées comme confidentielles.
Il est donc important de bien décrire ces éléments dans le contrat.
Un NDA unilatéral implique qu’une seule partie transmet des informations confidentielles.
Dans un NDA bilatéral, chaque partie peut transmettre et recevoir des informations sensibles.
Le type de contrat dépend du type de collaboration envisagée.
Oui, un salarié peut être soumis à une clause de confidentialité dans son contrat de travail, ou via un accord séparé.
C’est même une pratique courante, notamment dans les entreprises innovantes ou technologiques.
Toutefois, cette obligation ne doit pas porter atteinte aux droits fondamentaux du salarié, comme son droit à la liberté d’expression.
Oui, nous proposons un appel de 30 minutes gratuit avec un avocat CGV pour analyser vos besoins.
Un avocat spécialisé pour tous vos besoins. Des tarifs 100% transparents. Un processus clair en trois étapes. Une restitution en 1 semaine.
Nous accompagnons nos clients avec rigueur, réactivité et pédagogie afin qu’ils puissent prendre des décisions informées et sécuriser chaque étape de leur développement.
Notre équipe transforme vos enjeux juridiques en leviers stratégiques et assure la sérénité juridique de votre entreprise. Plus que de simples conseils, nous sommes de véritables partenaires de croissance.
Le juridique comme il devrait l’être : efficace & transparent.
Made with love 💛
© 2025 Completed
Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience, ainsi qu'à des fins marketing.
Vous êtes une startup incubée ? Découvrez nos offres.